jeudi 21 juillet 2011

Ville de Sfax


Ville de Sfax,monde de Travail, et droits de l'homme:la nécesité d'une commission d'enquête mixte
19/07/2011


1* A présent, à sfax se prépare un semblant de dérive apartheid: à la plage Taparura ,des gens sont autorisés à approcher le rivage en voiture , et d'autres non, en se basant sur un dévisagement, à la manière des policiers identifiant un recherché dans un cinéma.

2* En plus,la gérance est bizarrement identique à l'organization des gangs pilleurs-tortureurs de ces jours -ci :  un adulte de 40 ans , vec des enfants entre 14 et 17 !
  
3* Allez parler d'une commission d'enquété mixte (police, associations, et citoyens...) , on vous dira : "qui vous a mandaté pour parler, et on a plus urgent à faire".

4* On dit que la direction d'une institution ex-syndicale historique discute est-ce que la constitution  peut rien faire au monde du travail. Mais si monsieur : la constitution peut faire beaucoup au monde de l'économie qui est celui du travail en d'autres mots. ELLE  PEUT DONNER LE CARACTERE PENAL AUX VIOLATIONS DU CODE DU TRAVAIL. Elle peut aussi donner un statut plus sérieux à l'inspecteur du travail...
5* On nous dit que le problème des ordures a commencé après la révolution, tout comme celui des étalages de commerce dans la rue. Une mystification. Et le problème continue. En plus on incendie les déchets au milieu des zones urbaines.
Il y a un danger hygiénique encore plus sournois étant moins visible: les maisons délabrées et effondrées à la Médina et ailleurs, qui abritent rats et insectes porteurs potentiels de maladies.






6* Regardez ces graffitis . Les mêmes qu'avant mais avec des variantes! Bleu, mots barrés...
La coupure entre la jeunesse et les habitants des quartiers et les intellectuels et politiciens de base  n'est pas la moindre des conséquences de ce genre de mutilation de la ville et de la peur qui en résulte. Résultat: pas la peine de leur parler d'aller constater la misère et les magouilles qui  sévissent dans les quartiers.


   





Celle là , de 2006 , est plus intriguante




7* Le style de coiffure que j'ai vu la 1ère fois chez un employé privilégié d'une usine qui soutenait le rcd puis adopté par des soi-disant informaticiens ou chercheurs,, réapparaît à la télé.(avant la révolution il bénéficia de toute une série diffusée pendant le Ramadan, montrant les adeptes de ce look comme à la page et très sensuels et dragueurs... ) On se demande pourquoi cette insistance sur ce look qui ne représente pas même 0.001% des tunisiens.  


Surtout que dés le rasage , on remarque une physionomie que la mode courante classe comme peu belle et peu virile , à la différence de l'autre.


8* Si vous allez à la bibliothèque régionale, vous trouverez des caisses de livres avec plusieurs copies de chaque titre. 


C'est le vestige du passé ou le budget allait vers ces acquisitions non justifiées au dépens de la maintenance des livres anciens qui non seulement risquent d'être avariés, mais aussi de devenir une source de microbes pour les lecteurs qui s'aventurent entre les étagères de livres aux pages décolorées et dégageant une odeur nauséabonde. Ceci s'ajoute au problème du personnel innombrable qui y travaille sans y être toujours présent ! Il y en a qui ne travaillent que quelques heures par semaine ou qui passent la journée dans des discussions dans la rue, n'apparaissant qu'à l'heure de fermeture.  



9* Des problèmes commencent avec les marchandises.  Par exemple: la craie  magique anti-cafard qui est apparu providentiellement avec l'envahissement de la ville par de nouvellezs variétés de parasites ( petits cafards , gros rats).  Elle n'est plus magique , surtout le nouveau lot ( boîte contenant 2 morceaux de craie.)  Une enquête  est nécessaire surtout que l'été amène plusieurs autres soucis dans les marchés populaires : 
- sachets de jus en poudre , aux ingrédients et dates pas sûrs.
- vendurs de poudre-miracle qui blanchirait tout pour rien : tissus et dents compris! ( je fus sujet à filature en essayant de combattre ces charlatans escrocs).

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