lundi 23 avril 2012

Santé publique Mises en gardes.



23/04/2012

Je peux être presque sûr à présent de la nature d'un des maux observés sur une vaste échelle dans notre ville , surtout les milieux pauvres et les transports ( les cas sains y sont plutôt rares ): ce doit être une forme d'hépatite.  Les symptômes sont surtout une coloration jaunatre de la peau.

 ( NB:
En fait ceci est plutot du à des cas d'affections répandues respiratoires multiples. Note du 2 décembre 2012 )

Les services sanitaires devraient peut-être prévenir les aggravations et l'expansion du problème par les mesures préventive suivantes.

1. Les médecins dans leur travail routinier doivent tenir compte du risque d'atteinte de leurs patients.
- ils doivent faire attention, lors de la prescription des traitements, de ne pas donner des médicaments qui risquent d'aggraver l'hépatite ou l'état général du malade. Exemple: les
corticoïdes, prescrits pour l'asthme et le rhumatisme.
- ils doivent faire  attention en manipulant les instruments médicaux etc.
- faire attention lors de la prise de dons de sang.

2. Il ne faut pas oublier que le traitement de l'hépatite peut impliquer un
régime nutritif spécial.

3. Une vaste campagne de vaccination.

4. Il est presque sûr que le foyer épidémique est les les zones délabrées ou croulantes nombreuses dans la villes , devenues refuges pour les rats porteurs de maladies qu'ils transmettent aux humains ( et aux animaux domestiques ) par l'intermédiaires des parasites , surtout les puces.

5. Les citoyens et surtout les enfants doivent être avertis du risque encouru même en simplement côtoyant des chats ou des chiens ou des lapins etc car ils peuvent être porteurs de puces et/ou déjà malades.
6. Les petits mammifères typiques des terres buissonneuses et qui peuvent subsister dans les terrains abandonnés sont aussi à éviter ( hérissons...)

7. Les zoos aussi deviennent un risque de contamination.
8. Il faut envisager une meilleure gestion des rassemblements et lieux publics.

9. Les tasses de thé dans les marchés, les bouteilles d'eau, etc, utilisés en commun sont une source de contamination.
10. Il faut dénigrer toute utilisation
théâtrale des services sanitaires même en temps normal.
Il faut comprendre que seul un vaste appel à volontaires impliquant surtout les populations touchées peut être une solution efficace.

Remarque:

1/d'autres symptômes  suggérant une possible affection hématologique sont aussi observés. Dans ce cas l'origine serait peut-être plutôt nutritive. Les rares problèmes observés seraient dûs à la vie sans abri ou à des complications des autres affections.
2/ on a observé aussi de nombreux cas avec symptômes d'avitaminose ( problèemes de gencives , de pieds et de peau...) guéri avec une amélioration ou des dons de nourriture. Cela aurait-il un lien avec la pénurie, programmée possiblement , de denrées fraîches ?


samedi 7 avril 2012

Mise en garde contre un danger potentiel des téléphones portables:



Cette photo provient d'un mail d'un ami: Il y a un danger de brulures en gardant le portable branché au chargeur en dormant !
dangerbruleportabl

vendredi 6 avril 2012

Observation d'un camion de ramassage d'ordures



L'action est nécessaire , l'exécutant superflu !!
02/04/2012

La semaine passée en allant en ville à 9 heures du matin j'ai eu l'opportunité d'observer la manière dont s'effectue ce genre d'opération si importante parmi les prérogatives municipales et très grave sur le plan hygiénique à la fois au niveau de la portée bénéfique et des risques potentiels pour la communauté et les individus qui s'en chargent.

Le camion sortait d'une rue pauvre et pénétrait sur la voie publique. Il était dejà très surchargé. Un ouvrier est assis tout en haut du tas de sachets d'ordures, tout déchirés qui s'élève bien au dessus de la hauteur du camion, et l'ouvrier est assis dessus au mépris des odeurs infectes et du risque de tomber au milieu de la circulation si le tas se disloque.

Deux autres ouvriers sont assis sur des sortes de marche-pieds très fragiles assujettis à l'arrière du camion. Leurs jambes pendent derrière les roues très près du sol. D'autre part, comme le camion est parfois fortement secoué et éprouvé par la route ( sans oublier que ce sont généralement des véhicules anciens ), ces ouvriers risquent de tomber lors d'une violente secousse qui pourrait éventuellement briser le support sur lequel ils sont assis composé juste d'une barre de fer terminée d'une feuille de tôle. Ils risquent aussi d'être précipités à terre ou de cogner la tête au camion. En plus de cela, ils sont ainsi en contact avec les ordures  tout le long du travail. Et tous ces risques sont aggravés par le fait que ces ouvriers ne sont nullement capables de se concentrer sur leur posture: ils ne peuvent s'agripper comme il faut car d'une main ils se maintiennent tant bien que mal et de l'autre ils tiennent un morceau de pain qu'ils grignotent, n'ayant sûrement pas la possibilité ni le temps de prendre un petit déjeuner que sous la forme d'un pain partagé à plusieurs et absorbé dans les ordures pourries.
Tous ces ouvriers sont juste habillés de chemises et de pantalons tout souillés par les émanations des ordures.

Dans ces conditions, comment pouvons nous continuer à parler de ' modernité ' et de " progressisme imposé du dehors de notre société " ?
Qui va avoir suffisamment de courage pour diagnostiquer de tant d'années d'exclusion hygiénique ?