lundi 9 janvier 2012

Les bibliothèques et la santé : Savoir qu'il y a un risque inconnu dans le savoir méconnu de ses détenteurs


08/01/2012

Les bibliothèque risquent d'être une source de problèmes de santé pour leurs visiteurs et employés. C'est peut-être déjá une des raisons du rechignenent instinctif de ceux-ci à faire leur travail de classement et de maintenance des livres anciens. La raison est simple. Nous savons que le papier est une matière d'origine organique qui en vieillissant peut abriter des germes microbiens et moisir même. Des parasites microscopiques aussi, comme les acariens. peuvent se développer sur le papier comme ils se rencontrent sur le tissu, la laine, la mousse etc. Les problèmes sanitaires peuvent être surtout d'ordre respiratoire et cela s'observe en essayant de lire un livre imprimé depuis pas plus que 40 ou même 30 ans. Toux et écoulement oasal s'en suit fréquemment. En on ne serait pas surpris de savoir dans un proche avoir que des infections intestinales peuvent en résulter.

Par temps humide, le papier ancien absorbe l'humidité ce que favorise la prolifération de germes très tenaces.  Cela donne à ce papier sa couleur plus sombre et son odeur de moisi et piquante caractéristiques. Ensuite, par temps sec, les germes survivent en ' créant 'des spores ( c'est-à-dire des  ' graines ' ) qui peuvent se trouver liberes dans l'air à la moindre manipulation et de là inhalés par l'utilisateur.. Le préjudice, si cette personne est particulièrement fragile peut dépasser le simple rhume accompagné d'ècoulement masal et de toux, fréquemment observé chez les amateurs de la bibliothèque.

La période de 20 ans durant laquelle j'ai été fidèle visiteur, montre que notre administration bibliothècaire est inconsciente de ce danger même à présent. Pourtant les traitements pourraient être simples. Pour la prévention, la pose de produits dessicatifs dans les étagères qui devraient être en plus vitrées pour isoler l'humidité ambiante. L'intervention curative peut peut consister en un traitement thermique et/ou fumigatoire.

Il reste à savoir si cette inconscience à un lien avec ce qu'on a observé de policierîsation et d'autres cas de problèmes sanitaires en milieu bibliothécaire et culturel. On sait que si on fait autre chose que son devoir, et une seule chose à la fois, on finit par ne pas faire son devoir, puis risquer d'aller au delà.

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