lundi 29 août 2016

Lignes générales des questions brûlantes. Partie 2

Lignes générales des questions brûlantes de réalisation et consolidation des acquis républicains
Partie 2

Autres anomalies passées ou annoncées, à éviter
* La dérogation à ses propres principes annoncés. Remarquons cet exemple au centre de notre sujet: le ministère de l'information a été dissout dans l'après 2009. Après l'élection de fin 2014, un ministère des affaires locales est créé. Création entourée d'escalations et indignes Incidents locaux.  Et en plus, le ministre est désigné chef du gouvernement. Alors? Un ministère qui gère un secteur d'activité, l'information, serait source de despotisme. Mais un ministère qui gère les questions du pouvoir/administration local, n'en serait pas?
* Créer un projet pour des buts financiers et même de création inutile d'emplois, et le libeller d'un prétexte économique ou culturel. Dans ce genre de projet, les constructions avancent bien mais en fin de compte les fonds manquent pour la réalisation Culturelle en elle même qui en elle même à été mise au deuxième rang. Exemples de Sfax, révélateurs d'un style de travail non questionné: la numérisation et la médiathèque ; le chantier de restauration de l'église grecque, où les chantier s'arrêtent après les travaux de maçonnerie et muraux, laissant en suspens les travaux d'art etc ; et ces deux chantiers ont éclipsé les chantiers de la maison de culture et salle de fêtes...pourtant plus urgents.
* Ce qui est plus inquiétant, c'est  qu'un chantier aussi important pour la souveraineté et le fonctionnement de l'État et le Salut du pays que la formation du gouvernement paraît servir depuis 2011 à créer des débouchés pour les plus avancées et onereuses technologies importées et les chômeurs parmi leurs diplômés et à justifier de nouvelles constructions. Après la génération des associations et conseils supérieurs, sont venues les hautes (=inaccessibles) instances, et enfin les "équipes de travail à la formation d'un gouvernement " et les "pôles"; exemple le pôle économique projeté dans le nouveau gouvernement en cours de formation ( précédé par des pôles judiciaires et un pôle moderniste –celui là un parti)
Plus encore, une part de ces débouchés est consacrée à des jeunes parents des personnalités du régime.
* Encore plus intrigant : est-ce normal le fait même que le passage  au gouvernement d'union  aie été amorcé par l'orchestration d'un vote de confiance? Utiliser les règles constitutionnelles pour réaliser un projet politique décidé d'avance, et qui a la fin ne s'est pas réalisé!!
* Uns remarque fortuite mais révélatrice: le chef désigné du gouvernement ( CDG) a trouvé du temps pour tweeter pendant le chantier de discussions sur la formation... Mais il n'a pas trouvé du temps pour organiser des colloques régionaux au moins. Pour la cohérence, il ne fallait pas parler d'union nationale et salut national.
C'est dans ce même contexte qu'il faut considérer le cadre spatio-temporel des discussions : le jeune républicain chef appelle ses ainés à venir le voir dans leur palais historique ! Les parties viennent au siège  pour se laisser questionner sur leurs vues, et se faire informer qu'ils ont un gouvernement à pourvoir en ministres de préférence jeunes avec un quota de femmes.
* Les créations d'organismes (instances...) parallèles aux pouvoirs républicains. Ils ont un caractère anti-démocratique qui se manifeste aussi par l'ingérence des chefs de ces organismes dans les discussions citoyennes sur des sujets dont les projets de lois au détriment du temps réservé à leur tâche...Et ainsi, juste parce qu'ils sont chefs d'instances ils acquièrent un accès illimité aux médias etc plus que les autres citoyens.
* Les créations de ministères en divisant les anciens, juste pour justifier des emplois inutiles et pour suggérer à la masse une recrudescence d'intérêt pour le secteur concerné.
* L'utilisation des services dont recensement pour des actions d'influence ou d'abus de pouvoir ....
* Le peuple objectif. Cela est mis en évidence entre autres par un fait qui se répète de manière très remarquée : certaines composantes sociales sont chargées de participer au pouvoir par les associés locaux et régionaux et le font. Pourtant ils annoncent ne pas avoir d'ambitions dans le pouvoir. Comment expliquer cela autrement que par une mesure anti-populaire pour éviter une affluence de plantes sociales?
Remarquez qu'avant 2011 parler d'une organisation assez influente pour soulager la détresse de ses adhérents et sympathisants aurait induit une réaction négative et possiblement violente. Après 2011, on veut bien souligner son vaste pouvoir uniquement pour des questions non inhérentes à son devoir social. Dans plusieurs secteurs de la vie on observe ce genre de maquillage des ressources accompagné de modes de gestion et d'organisation préférentiels et favoritistes reconnus pour certains groupes de population et occultés devant d'autres. Un exemple non spécifique mais flagrant est les organisations comme les scouts etc, anciennes mais non connues/accessibles à tous.
* On annonce des campagnes de dialogue et d'évaluation de l'expérience passée. On peut même supposer de loin que les campagnes officielles pour former les jeunes à " la presse citoyenne, le blogging, l'art, la culture de la vie et de la citoyenneté, l'initiation à la pratique de la démocratie, etc " sont des moyens pour promouvoir effectivement le dialogue et la pratique de la critique. Mais dés qu'on entre en contact avec les habitués de ces milieux et des critiques officiels, on se rend compte que parler d'évaluer qui ou quoi que ce soit est la meilleure façon de se faire exclure de ne serait-ce le moindre contact permanent ou provisoire avec tout genre d'activités et d'organisations, et constater une indifférence active se profiler à chaque problème social ou personnel.
* l'État est associé avec les associations et autres composantes...Il laisse déraper et n'intervient pas pour gérer les négligences.
* Éviter de critiquer ouvertement pour garantir l'approche. Ceci est utilisé aussi par les organisations non gouvernementales (Fsm...) ce qui donne aux jeunes et aux gens victimes d'injustices une fâcheuse image d'association d'indifférents pseudo-conciliateurs pseudo-pacifistes ligués contre l'individu qui a la malchance de n'avoir aucun atout d'éducation, d'affiliation, de fortune, de naissance, ni historique alors que sa chance réside entre des mains qui les ont toutes.
* Créer des projets (et ainsi épuiser l'environnement et les ressources naturelles et budgétaires) pour faire travailler les entreprises privées et diplômés formés en surplus dans des secteurs favoritistes.
À syi

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