mercredi 10 février 2016

Bilan 01-2016



Écrit    25.01.2016                                                                                                                               Publié sur notre Journal/mémoire journal-ho-net.fr.gd le 26.01.2016
1* Le non sérieux des déclarations de bonnes intentions (dans le contexte du nouvel an) pour gérer les crises que connait le pays est mis en évidence par le maintien dans le poste de gouverneur de personnes nées en dehors de chaque gouvernorat. Donc étrangers aux réalités et aspirations locales. Le jeu de l'État sécuritaire et du peuple cible continue.
Il est à rappeler à ce sujet que cette pratique aussi fait partie des usages historiques de l'élite historique bombardée classe politique. Avec notamment: la manipulation de la composition humaine des agglomérations, et le pari exclusif sur la plus jeune jeunesse.
2* les chefs des partis omettent après 5 ans du projet reconstitutionnel initial de prendre du recul ne serait-ce que provisoirement. Ils étaient issus du jeu sécuritaire ancien.
Cela aggrave entre autres la dérive de la priorité d'estompage des évolutions sociales et dossiers sales même au prix de tensions qui peuvent amener des conséquences imprévues au niveau micro-personnel ( et d'autres prévus au niveau du marasme et autre cartes d'affiliations et commandement au local et micro-local.)
3* Persistance du discours multiple du régime. Dont un discours fabriqué avec des activistes fabriqués issus de familles historiques. Diffusé via les show-talks. Cible: les intellectuels de faible niveau et les illettrés.
4* Persistance de la canalisation des couches nombreuses et /ou élitistes à travers des organismes fabriqués. Ex union des diplômés chômeurs. Qui démoralisent les jeunes par leurs moyens d'action non adaptés, par leurs lectures sélectives des origines de leur situation, et par la suggestion d'une possibilité d'intégration et de gain faciles.
5* Les organisations de défense des droits de l'homme et d'observation des institutions persistent dans leurs habitudes : rapports enthousiasmants mais sans contenu opérationnel pour les cas de détresse humanitaire chronique, évocation de dossiers exclusivement de politique classique et de délits classiques, dont certains fabriqués, su détriment des dossiers de délits sales et/ou systémiques.
Il est important de noter surtout leur silence sur le verrouillage médiatique , sur la manipulation des adolescents et jeunes sous certains régimes, et sur la fabrication d'interviews citoyens.
6* L'angoisse suscitée par les questions du terrorisme, ses origines et ses remèdes, pourraient avoir nourri des profits médiatiques et économiques à des éléments déjà multi-ultra-favorisés.
7* Persistance du style PFE du recrutement,  gestion des urgences et action politiques, associatives et étatiques.
8* 25.01.2016
Les parties hors pouvoir persistent dans le langage unilatéral qui permet à d'autres parties ayant des affiliations extérieure de se présenter comme défenseur d'idées démocratiques factices.
Par exemple : récemment une formation dite d'opposition a appelé ou menacé d'appeler à un  changement de la scène politique, sans en attendant participer ELLE-MÊME à la provision de palliatifs aux cas urgents observés que ce soit AU NIVEAU des couches chroniquement défavorisés ou des dossiers de graves délits systémiques.
Notons dans ce contexte que ce genre de institutions se croit plutôt lié par un devoir de solidarité envers les sociétés d'hébergement de sites web inutiles et de vente d'électroménager nombreuses souffrant du marasme.
Notons à se sujet que des institutions de culture et d'évaluation/observation des rouages administratifs...etc inaugurent leur activité par la création de sites web à l'exclusion de toute autre activité, allant jusqu'à créer un site aussi pour chaque action ou manifestation et chaque saison de cette manifestation sans raison et sans constatation préalable de la moindre affluence. Ceci montre la largeur de l'horizon socio-national de ces institutions.
9* La presse citoyenne est toujours exclue (ou elle-même récalcitrante?) de l'accès aux zones chaudes et zones de désastres sociaux surtout. Les moyens d'exclusion sont non classiques.
Il est à noter qu'il est impossible de faire observer ces moyens.
10* Persistance de destructions et de risques hygiéniques massifs. Coupes massives d'arbres, canal puant traversant la ville, travaux inutiles de maçonnerie au centre-ville, destructions de monuments sous couverts de accidents  et vérifications....
11* Vous pensez qu'il faut demander de consacrer aussi des fonds pour une caisse pour le chômage ? Que se passera-t-il de mieux  du 25 au 31 janvier ?
12* Persistance du dilemme de la coopération régionale et internationale : axée autour des droits de l'homme, mais pas au point de suivre et constater leur évolution. Une sorte de tradition littéraire.
13* Au niveau micro-social: Persistance des caractéristiques des années précédentes, surtout:
- dans les lieux publics, notamment les établissements à usage ou services publics, la communauté et les corps constitués (y compris les administrateurs) restent encore incapables de gérer les salles et files d'attente des hôpitaux notamment (par des distributeurs de ticket...) pour éviter la promiscuité et la transmission des angines et grippes anormales fréquentes.
Notons ici: on ne sait pas encore si la vague actuelle est uniquement endémique résultant des foyers préexistants ( exodés chroniquement mal logés, sans-abris et indigents) ou si elle est doublée de cas venus de l'extérieur.
- le cas des transports en commun est plus inquiétant. Là un sérieux problème de bon sens et/où de conscience est à observer : par exemple les fenêtres automatiques actionnées exclusivement par le chauffeur sont considérés uniquement comme moyen de ventilation et non d'aération aussi. On les ouvre uniquement en été

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