Malgré les tares évidentes de l'expérience politique on ne peut rester indifférent à ce qui se passe et surtout ce qui est oublié dans son pays. Ces tares sont essentiellement:
- la tenue des législatives avant les présidentielles , ce qui soulève des différends procéduraux constitutionnels ,
- l’occurrence de conflits violents dans des pays voisins à chaque tournant électoral,
-un processus constituant fait par des non-ayant droit , c'est à dire des non politiques qui sont souvent des sujets ou citoyens d'autres pays, etc.
Les raisons de notre angoisse citoyenne sont :
- la persistance de maux souvent décrits dans notre blog les années précédentes dont les problèmes d"insalubrité des villes , les eaux souillées sous les trottoirs , issues des pluies...
- la seule approche proposée par les compagnes adverses vient de M. Marzouki qui nous rappelle qu'il a PROPOSE de faire les municipales avant . Marzouki ne sert pas son pays en dehors du pouvoir !
- La persistance d'injustices et craintes concernant da liberté d'expression. On se numériquese dire que ce seront pour nous celles créées par un nouveau despotisme potentiel qui pourrait sévir malgré la démocratisation des systemes politiques , utilisant les manques de la transparence dans les mégapoles du 21e s. Exemple: la poigne corporative en période de crise économique et de chômage, la destruction de données numériques de citoyens non-organisés etc ( et ce sont là deux formes d'injustices qu'ignorent les nombreux défenseurs des libertés )
Ces craintes sont justifiées. L'instance de la dignité déclare que seuls les dossiers politiques seront traités. Qui définit ce caractère ? et en relation avec quoi: le commanditaire, l'agent exécutant , la victime , l'objectif , le contexte de l'injustice ?
Nous sommes revenus à ce blog aprés une longue absence due à des problémes de destruction de données et des contextes materiels et pour cela nous sommes obligés de traites notre sujet , nos craintes citoyennes sous forme de notes:
1- Pourquoi les deux candidats ne pensent pas à faire bénéficier des cas sociaux des dépenses de leur campagne , au lieu de faire des dépenses extravagantes et clownesques , comme Marzouki qui a suspendu une dizaine de baffles au bout de la fleche d'une grue et ce au milieu d'une zone trés active , sans parler du résultat acoustique contraire obtenu.
2- Pourquoi les deux candidats se taisent sur le pourquoi de la multiplication d'institutions parfois parallèles à celles pré-existantes . Aprés la génération des Hautes instances , on veut des Conseils supérieurs; exemple : pour la réforme de la presse et celle de l'enseignement. Et on ne tient pas compte des difficultés financières dans ces créations de précédents institutionnels qui vont travailler le temps d'une réforme qui peut avoir lieu au dans le cadre des ministères, et souvent servent uniquement à passer du temps précieux sur des secteurs chroniquement parasites et non productifs.
3- Pourquoi le 17-12 à la chaine 1 M. Marzouki déclare qu-il a " obtenu de Turquie 40 chars petits et vise à créer une armée de 100 milles sildats". N'est-ce pas de la divulgation de secrets d'état ?
4.Est-ce normal que les candidats en parlant de l'image de la Tunisie aprés 5 ans , ne parlent pas d'un peuple complètement alphabéte, doué de la couverture sociale et vivant dans un cadre social et urbanistique sain ? M. Marzouki parle uniquement de pars au bords de la mer et d'aéroports ... mais M Béji Essebsi aussi hésite et parle uniquement de meilleure vie en rappelant que c'est le chef du gouvernement qui a le dernier mot. Ils oublient que le président aussi peut avoir l'initiative de proposer des lois. Nous rappelons ici en passant , à Marzouki que justement c'est pour cette particularité de notre système politique que la présence du même courant politique dans l'exécutif et le législatif en même temps est utile et même nécessaire. ( en général aussi les démocraties craignent les cohabitations forcées , et cette idée de ' exécutif à deux têtes , garant de l'équilibre ' est dangereuse , sorte de chantage politico-affectif vers un peuple matraqué par les infos sur le despotisme sans débouchés clairs, un exemple de tendance élépublique , république à but strictement électoral .
Bonne chance pour la Tunisie et à nos lecteurs
- la tenue des législatives avant les présidentielles , ce qui soulève des différends procéduraux constitutionnels ,
- l’occurrence de conflits violents dans des pays voisins à chaque tournant électoral,
-un processus constituant fait par des non-ayant droit , c'est à dire des non politiques qui sont souvent des sujets ou citoyens d'autres pays, etc.
Les raisons de notre angoisse citoyenne sont :
- la persistance de maux souvent décrits dans notre blog les années précédentes dont les problèmes d"insalubrité des villes , les eaux souillées sous les trottoirs , issues des pluies...
- la seule approche proposée par les compagnes adverses vient de M. Marzouki qui nous rappelle qu'il a PROPOSE de faire les municipales avant . Marzouki ne sert pas son pays en dehors du pouvoir !
- La persistance d'injustices et craintes concernant da liberté d'expression. On se numériquese dire que ce seront pour nous celles créées par un nouveau despotisme potentiel qui pourrait sévir malgré la démocratisation des systemes politiques , utilisant les manques de la transparence dans les mégapoles du 21e s. Exemple: la poigne corporative en période de crise économique et de chômage, la destruction de données numériques de citoyens non-organisés etc ( et ce sont là deux formes d'injustices qu'ignorent les nombreux défenseurs des libertés )
Ces craintes sont justifiées. L'instance de la dignité déclare que seuls les dossiers politiques seront traités. Qui définit ce caractère ? et en relation avec quoi: le commanditaire, l'agent exécutant , la victime , l'objectif , le contexte de l'injustice ?
Nous sommes revenus à ce blog aprés une longue absence due à des problémes de destruction de données et des contextes materiels et pour cela nous sommes obligés de traites notre sujet , nos craintes citoyennes sous forme de notes:
1- Pourquoi les deux candidats ne pensent pas à faire bénéficier des cas sociaux des dépenses de leur campagne , au lieu de faire des dépenses extravagantes et clownesques , comme Marzouki qui a suspendu une dizaine de baffles au bout de la fleche d'une grue et ce au milieu d'une zone trés active , sans parler du résultat acoustique contraire obtenu.
2- Pourquoi les deux candidats se taisent sur le pourquoi de la multiplication d'institutions parfois parallèles à celles pré-existantes . Aprés la génération des Hautes instances , on veut des Conseils supérieurs; exemple : pour la réforme de la presse et celle de l'enseignement. Et on ne tient pas compte des difficultés financières dans ces créations de précédents institutionnels qui vont travailler le temps d'une réforme qui peut avoir lieu au dans le cadre des ministères, et souvent servent uniquement à passer du temps précieux sur des secteurs chroniquement parasites et non productifs.
3- Pourquoi le 17-12 à la chaine 1 M. Marzouki déclare qu-il a " obtenu de Turquie 40 chars petits et vise à créer une armée de 100 milles sildats". N'est-ce pas de la divulgation de secrets d'état ?
4.Est-ce normal que les candidats en parlant de l'image de la Tunisie aprés 5 ans , ne parlent pas d'un peuple complètement alphabéte, doué de la couverture sociale et vivant dans un cadre social et urbanistique sain ? M. Marzouki parle uniquement de pars au bords de la mer et d'aéroports ... mais M Béji Essebsi aussi hésite et parle uniquement de meilleure vie en rappelant que c'est le chef du gouvernement qui a le dernier mot. Ils oublient que le président aussi peut avoir l'initiative de proposer des lois. Nous rappelons ici en passant , à Marzouki que justement c'est pour cette particularité de notre système politique que la présence du même courant politique dans l'exécutif et le législatif en même temps est utile et même nécessaire. ( en général aussi les démocraties craignent les cohabitations forcées , et cette idée de ' exécutif à deux têtes , garant de l'équilibre ' est dangereuse , sorte de chantage politico-affectif vers un peuple matraqué par les infos sur le despotisme sans débouchés clairs, un exemple de tendance élépublique , république à but strictement électoral .
Bonne chance pour la Tunisie et à nos lecteurs
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