7 mars 2012
Lisez ceci:
1* Le 27 février en visitant un service local des affaires sociales, je découvre qu'ils continuent ( depuis début 2011 ) à recevoir les gens á l'extérieur du local pourtant assez spacieux. Ils traitent les demandes des gens à travers la porte grillagée fermée à clé sans raison.
Lors d'une visite d'avant 2011 j'avais remarqué que les employées étaient autorisées à cuire des repas pendant le service, mais n'étaient pas enclines à faire les constatations à domicile nécessaires rapidement pour l'allocation de prestations sociales. Et à présent, on remarque la présence d'employés nombreux et nouveaux et que les femmes sont toutes voilées.
2* L'état d'une des nouvelles employées est inquiétant. Elle est voilée et dans le beau visage ovale on lit la détresse d'une femme qui vient de subir une agression. Elle a des bleus sous les deux yeux et sur son nez on voit une cicatrice longue comme le vestige d'une coupure faite avec un couteau. J'ai questionné une de ses collègues. Elle dit froidement que " elle est tombée ". Pour moi, comme l'origine violente est certaine, cette assertion froide suggère que l'affaire pourrait cacher une punition ou du zèle d'une provenance quelconque, sachant moi même que dans certains milieux on mélange obéissance professionnelle et celle individuelle, et que, contrairement aux dires, on tait fréquemment le recours à la punition sommaire, et à la violation de l'intégrité corporelle comme punition.
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